Acte 1 scène 1: on attend le réveil de néron au sens propre mais il est présenté par Agrippine comme dangereux lorsqu'elle le compare à un monstre avéré Calligula: Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices/De Rome pour un temps Caius fut les délices/ Mais sa feinte bonté se tournat en fureur/Les délices de Rome en devinrent l'horreur."
Le premier acte monstrueux de Néron est l'enlèvement de Junie qui a eu lieu la nuit précédent le début de la pièce:
Il sait car leur amour ne peut être ignorée/ que de britannicus Junie est adorée/
Et ce même néron que la vertu conduit/
Fait enlever Junie au milieu de la nuit! ( Agrippine I, 1)
L'Acte II scène 1 montre son abus d'autorité dans les formules cassantes qu'il emploie avec Burhus. "je le veux, je l'ordonne, et que la fin du jour/ ne le retrouve pas dans rome ou dans ma cour/ Allez: cet ordre importe au salut de l'empire/ Vous narcisse approchez Et vous que l'on se retire." Cet abus d'imprétifs révèle une faille.
L'acte II scène 2 le montre rêvant des larmes de Junie alors qu'il est incapable de parler: "trop présente à mes yeux je croyais lui parler/ J'aimais jsuq'à ses pleurs que je faisais couler" c'est un fantsame; néron n'est-il capable d'aimer vraiment qu'en personnage sadique?
Lacte II scène 6 montre sa cruauté envers Junie qu'il espionne alors qu'elle souffre de devoir feindre une rupture avec Britannicus;
L'acte II scène 8 le montre incapable de répondre à Britannicus/ Néron a-t-il une pensée politique?
L'acte IV révèle son instabilité: il répond favorablement à ses trois interlocuteurs mais change systématiquement d'avis.
IV, 2: Agrippine somme de se réconcilier avec Britannicus. il accepte
IV, 3: Néron avoue à burrhus qu'il a menti à Agrippine. Burrhus convaint néron de ne pas tuer Britannicus.
IV, ' Narcisse arguant que néron se laisse dominer par sa mère, le convainc à son tour de finalement tuer Britannicus.
L'acte V marque le âsage à l'acte criminel puisque Britannicus est empoisonné ( technique lâche: Néron ne veut pas être soupsçonné)
Et le dénouement souligne sa flie: encore une fois incapable d'agir, il observe désemparé la fuite de Junie chez les Vestales et ne peut empêcher le massacre de Narcisse; " le seul nom de Junie échappe de sa bouche/ Il marche sans dessein, ses yeux mal assurés: N'osent lever au ciel leurs regards égarés."
Dans Britannicus, le personnage de Néron montre ne
monstruosité psychologique, en effet ce qui a charmé Néron sont les lares et
donc la tristesse de Junie : Cette nuit je l’ai vue arriver en ces
lieux/Triste levant au ciel ses yeux mouillés de larmes » Vers 386-387, ce
plaisir relève du sadisme. Par la suite, par un sentiment égoïste, il force
Junie à rompre avec Britannicus sous peine de le tuer. « Il vaut mieux que
lui-même/ entende son arrêt de la bouche qu’il aime » Vers 667-668 et va
même jusqu’à espionner le couple, ce qui montre qu’il éprouve un certain
plaisir à assister à leur rupture. » Caché près de ces lieux, je vous
verrai, Madame » v679 Mais ce personnage présente une autre monstruosité
qui se trouve au plan politique, en effet au début de la pièce il cache sa
haine envers les autres comme lorsqu’il parle avec sa mère lors d’un entretien
et lui dit : « je me souviens toujours que je vous dois l’empire »
vers 1223 et « Avec Britannicus je me réconcilie » vers 1300 alors
qu’en réalité il compte prendre le pouvoir en le tuant. Mais cette cruauté
vient du fait que Narcisse le pousse sans cesse à prendre le pouvoir par tous
les moyens possibles lorsque Néron ne ressent plus ce besoin. « Narcisse, c’est
assez ; je reconnais ce soin/ Et ne souhaite pas que vous alliez plus
loin/Quoi de Britannicus votre haine affaiblie vers 1397-1398 (En effet Néron
est faible. Mais surtout cette pièce présente une grande rivalité politique
entre Néron et Britannicus, pour Néron, il est un adversaire politique car il
est l’héritier légitime du trône. Pour qu’il ne s’oppose pas à lui plus
longtemps, Néron décide de s‘empoisonner, et c’est à l’annonce de cette mort
qu’on remarque que ce personnage est insensible car i n’éprouve aucun sentiment
lorsque son demi-frère leur sous ses yeux : »sa perfide joie éclate
malgré lui vers1642, « cherche-t-il seulement le plaisir de leur
nuire ? » vers 56.