Scène 10 l’Otage
Le début de la scène ne change pas – les coupes prévues restent valables.
A partir de la page 66, voici le texte à prendre en compte (incluant 2 nouvelles coupes, et une modification dans l’action)
L’homme s’approche en tremblant, tend le bras, cherche dans la poche de la dame, en tire les clés.
LA DAME – Imbécile.
UN HOMME (triomphant) – Vous avez vu ? Vous avez vu ? Qu’on amène cette Porsche jusqu’ici.
UN FLIC – Passez-lui les clés.
UN HOMME – Donnez-lui donc vous-même. C’est votre métier, les tueurs.
UN FLIC – Nous avons nos raisons.
UNE FEMME – Raisons mon cul.
L’homme 1 qui a toujours la clé en main la donne à Zucco.
ZUCCO – Je prends la femme avec moi. Ecartez-vous.
UNE FEMME – L’enfant est sauvé. Merci, mon Dieu.
UN HOMME – Et la femme ? Qu’est-ce qu’il va lui arriver, à elle ?
ZUCCO – Ecartez-vous.
Tout
le monde s’écarte. Tenant d’une main le pistolet, Zucco se penche,
prend la tête de l’enfant pas les cheveux, et lui tire une balle dans la
nuque. Hurlements. Tenant le pistolet braqué sur la gorge de la femme,
Zucco se dirige vers la voiture.