En 1833, après l'échec d'une tentative d'insurrection à Francfort, il
écrit à ses parents.
« Mon opinion, la voici ; s’il est une chose à
notre époque qui puisse être utile, c’est la violence. Nous savons ce
que nous pouvons attendre de nos princes. Tout ce qu’ils ont concédé
leur a été arraché par la nécessité. Et même les concessions nous ont
été jetées comme une grâce mendiée et un misérable jouet d’enfant, pour
faire oublier à l’éternel jobard qu’est le peuple qu’il est emmailloté
trop à l’étroit. »
Sur la nécessité ou non de la violence pour obtenir quelque chose de nos gouvernants. A méditer.