La violence dans les
Bacchantes :
-Violence d’un rituel archaïque : sacrifice.
-Violence du sort de Dionysos enfant et de sa mère Sémélé
-Violence car tragédie de la vengeance
-Violence du Ménadisme de la transe/ mais violence plus
grande des Bacchantes thébaines qui sous l’aiguillon du Dieu deviennent
sanguinaires : le ménadisme, une dose homéopathique de violence pour
supporter la violence divine, contrôler la démesure divine ?
-Violence de Penthée : refus de l’étranger, du féminin,
propos violents à l’égard du messager étranger, à l’égard des femmes :
dictateur qui emprisonne, censure, veut tuer : paradoxe d’accuser Dionysos
d’être de la « violence pure »
-Violence de l’irreprésentable raconté par les deux messagers
dans des récits : pas jouable, à peine racontable.cf messager dans Phèdre de Sénèque, mise en scène d'Elisabeth Chailloux.
-Violence de ce qui arrive à Agavé et de son
cheminement : infanticide sans conscience, folie
Violence du sparagmos : démembrement : Cf Actéon
// avec les termes de chasse.
Violence imposée au vieux Cadmos.