dimanche 7 juin 2015

La Violence dans les Bacchantes



 La violence dans les Bacchantes :

-Violence d’un rituel archaïque : sacrifice.

-Violence du sort de Dionysos enfant et de sa mère Sémélé

-Violence car tragédie de la vengeance

-Violence du Ménadisme de la transe/ mais violence plus grande des Bacchantes thébaines qui sous l’aiguillon du Dieu deviennent sanguinaires : le ménadisme, une dose homéopathique de violence pour supporter la violence divine, contrôler la démesure divine ?

-Violence de Penthée : refus de l’étranger, du féminin, propos violents à l’égard du messager étranger, à l’égard des femmes : dictateur qui emprisonne, censure, veut tuer : paradoxe d’accuser Dionysos d’être de la « violence pure »

-Violence de l’irreprésentable raconté par les deux messagers dans des récits : pas jouable, à peine racontable.cf messager dans Phèdre de Sénèque, mise en scène d'Elisabeth Chailloux.

-Violence de ce qui arrive à Agavé et de son cheminement : infanticide sans conscience, folie
Violence du sparagmos : démembrement : Cf Actéon // avec les termes de chasse.

Violence imposée au vieux Cadmos.